There's no escape, but I won't runComme tu es brave Veronica Brown ! Allez, fait moi un sourire ! : Nombre de messages : 244
| Sujet: Raccoon City : Jour 1 Mar 20 Jan - 18:41 | |
| 5h00 DANS LE HIVE
Les caméras tapissaient l’immense complexe sous terrain. Les gens allaient et venait… sous les nombreuses optiques. Puis une alarme partit. Si innocente dans la tête de tous ces employer. Mais à travers se son, à travers les caméras, l’intelligence artificielle condamnait le complexe, et tout le monde avec. Gaz puissant, inondation des pièces … rien n’était de trop, et personne ne devait être laissé au hasard…
6h30
Ça commençait simplement, comme toutes les autres journées auraient commencé. Les premières lueurs du soleil en promettaient pour le reste de la journée, le ciel était dégagé et les météorologues à la télévision nous annonçait une douce journée d’hiver. Tout était à leur place, la maison était rangée, le gazon tondu et abreuvé par l’arrosoir et la vie reprenait dans les maisonnées. Le monde se rendait au boulot, et les enfants se préparaient pour passé une agréable journée à l’école, où bien cette journée serait agréable pour les parents restant à la maison, qui serait alors débarrassé d’une source inépuisable de stress et d’encombrement. À quelques reprises, en levant la tête vers le ciel, il était facile de distingué les hélicoptères qui passaient en vitesse. Ce n’était pas si étonnant dans voir, mais … si nombreux ? On haussait simplement les épaules et on se reconcentrait sur notre café en appréciant le bon air. Mais s’était avant que quelque chose d’étrange vienne cogner à notre porte…
10h30
Et une fois la porte ouverte, plus rien ne pouvait empêcher les voisins d’entrer dans la maison. À moins que… le problème ne vienne de l’intérieur ? Mais, en fait, quel était le problème exactement ? Sans leur expliquer cette soudaine réaction, on allait s’enfermer. Mais bien vite on les voyait aux fenêtres, ou à la porte patio, laissant une trace de sang. Du vrai sang ?? Et sans savoir pourquoi on sort le vieux batte de baseball contre ses soudaines menaces qui tapait pour rentrer à l’intérieur. Le facteur, une menace ? Le teint du facteur semble d’abord étrange, mais ce qui attire le plus l’attention, c’est alors sa manière de marcher, de bouger, de… grogner ? Et alors qu’on se croit en sécurité entre nos murs, une présence familière arrive par derrière. Contrairement aux baisers habituels que cette âme sœur nous prodigue, une douleur cuisante se faire sentir. Tout en lui connaissant des penchants douteux, on ne peut pas totalement se mettre à imaginer que cette personne ait été jusqu’à mordre…
12h30
Le temps n’est plus à regardé la télévision, mais lorsqu’elle capte l’attention des gens, ceux-ci voit dès lors que leurs voisins ne sont pas les seul à peter un câble, que les amis tant chéri jusqu’à maintenant n’ont pas tout d’un coup commencer à côtoyer des gens peut recommandable ou que la folie ne s’est pas éprise d’eux. À moins que la folie ne soit contagieuse ?? Alors que les policiers tirent un peu n’importe comment sur des gens déséquilibrés, ceux saint d’esprit se mêlent à la foule en courant, criant. Mais parfois ces fous se jètent sur eux… En seulement quelques heures cette épidémie de folie qui avait commencé dans le nord de la ville commençait progressivement à se répandre comme la peste dans le restant de la ville. Non, pire que la peste, la peste, elle, quand bien même prenait-elle l’aspect de la mort, au moins n’était-elle pas violente et agressive physiquement.
14h30
Barbare, c’est une rage, une pulsion incontrôlable et psychotique qui les guide. Comme si tout d’un coup vous représentiez pour eux un buffet. Barbare, sans sens moral, sans sens de la douleur. Alors que le désordre le plus complet commence à régner dans la ville ébranlée par les infos à la télévision. Alors que la douleur est intolérance lorsque les dents de ces fou vous transpercent et dévorent une partie de votre corps, ce fou furieux, déchaîné, ne ressent même plus le coup de pied qui lui sera par la suite affligerez, ou la chute qu’il fera, ou les balles qui lui cribleront le corps. Mais qu’ont-ils donc ?? Hôpital, église… tous finissent par se remplir. L’un pour se faire soigné avant de se vider de son sang, l’autre pour prier le bon dieu qui semble être partie en vacance. Les informations ont stimulé la plupart de la population qui s'est alors mit à paniquer. Ceux qui ne tentèrent pas de sortir de la ville ou ceux qui sont déjà mort ne se rendent, et ne se rendront jamais compte que quelque chose leur bloque le passage. Et bien qu'ils ne le savent pas encore, les militaires et le gouvernement appellent ça ; une zone de quarantaine. |
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